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Carlos Tavares quitte la direction générale du 4e constructeur mondial, poussé vers la sortie après dix ans dans le groupe. De PSA à Stellantis, retour sur une décennie d’industrie automobile.

Alors que la petite Dacia électrique s’affiche à près de 19.000 euros en France, une version plus basique est commercialisée au Luxembourg et en Belgique à un peu plus de 10.000 euros. Dans les Flandres, une aide à l’achat permettait même de faire baisser la facture sous les 8.000 euros.

Le décret d’application du nouveau millésime des aides à l’achat de véhicules électriques a été publié ce dimanche au Journal officiel.

Le repli a été de presque 13% sur un an, selon la Plateforme automobile (PFA).

Les propriétaires de véhicules électriques ne pourront bientôt plus les recharger sur leur lieu de travail sans contrepartie. Une décision de l’Urssaf va bientôt imposer des charges sociales sur cet avantage.

L’état des autoroutes concédées « est objectivement bon », souligne le régulateur, avec des ouvrages d’art en meilleur état que sur le réseau non concédé.

La publication du décret actant la baisse du bonus écologique et la fin de la prime à la conversion est attendue dans les prochains jours avec effet immédiat et non au 1er janvier. L’occasion d’en bénéficier avant une baisse d’au moins 2.000 euros pour la principale aide à l’achat d’une voiture électrique neuve en France.

Le gouvernement a précisé que l’enveloppe réduite pour le bonus écologique serait « strictement limitée » à 700 millions d’euros. La prime à la conversion sera bien abandonnée, sauf pour les utilitaires légers électriques.

La plaque « GE – 55555 » a été adjugée à plus de 51.400 euros par l’Office cantonal des véhicules (OCV) de Genève.

Pour le président de la PFA, la baisse annoncée du bonus écologique représente un mauvais signal pour la filière automobile française. Luc Chatel réclame aussi des mesures d’urgence au niveau européen.